OCMC : Reflections on Africa – One Team Members Experience in Cameroon‏

Reflections on Africa – One Team Members Experience in Cameroon‏

by Kelsey Lourie

As I sit here at a Coffeehouse in Tacoma, WA, and reflect on my recent participation in the October 2007 OCMC Cameroon mission trip, I can’t help but acknowledge how wealthy our society is. Even our homeless and destitute have more opportunity for a better life than many in third world countries. During the Mission Team experience and now in the days following my return, I am plagued by wondering why and how our mindsets, attitudes, and perspectives are so different. I could interpret the events and individual actions I saw in Africa in certain, negative ways, but even my interpretation is a reflection of my American upbringing.

Nevertheless, behind all of the «higher» musings there remains a simple fact: humans are human no matter where they grow up. The people our team met in the extreme north of Cameroon and in the southern area bordering Chad were just as excited about Orthodoxy as any new convert or spiritually focused person in America. They enjoyed dancing and singing as much as we do. They love family, friends and good humor, and they cherish it all. The children were innocent, the youth were eager to learn, and the elders were wise. They were entrepreneurial, good at networking, flexible and patient in the face of change. They were hospitable, kind, respectful, giving and friendly.

As we traveled, children would come running from houses or schoolyards, throwing their arms in the air, smiling wide, their brilliant white teeth glowing in stark contrast with their beautiful ebony faces, shouting in glee as we barreled past. We would wave and smile back from the bed of our pickup truck. The children multiplied daily as word of white foreigners that were traveling back and forth down the dirt roads connecting the remote villages spread. We were certain the locals knew more about our schedule than we did…people of all ages came out of the «bush» no matter where we were visiting. It was said that «the grass had eyes.»

Every day we went to another parish or mission community, seeing every stage in the growth of a church: communities without a church, newly purchased land, groundbreakings, foundations, construction shells, a consecration, young churches, old churches, a cathedral…in the veritable heart of Africa. It is literally jaw-dropping to be crashing down a pot-holed dirt road or a bare-foot-beaten path, riding tall in the open pickup truck bed, flying around a bush or tree, ducking under the branches, smashing through a millet field and suddenly screech to a halt in front of a massive and beautiful Orthodox church! We were usually met with a portion of the parish singing, dancing, playing the drums and the rattle to the tune of the Praises in the local African dialect of Tipouri, the contingent growing by the minute. Villagers clad in bright fabrics and white tee shirts, joyfully greeted Metropolitan GREGORIOS, the visiting clergy and our team with smiles and ecstatic high-pitched screams. Everyone, from toddlers to elders, warmly shook our hands. Our broken French and Tipouri were hardly a barrier to the non-verbal communication of smiles, clasping hands, clapping and dancing to their music, gazing in awe at their churches, revering their priests as they do ours, crossing ourselves identically, laughing at each others’ antics, taking pictures together and showing them the digital print of their existence. I am almost in tears over the remembrance!

In our 19-day stay in Cameroon (and one visit to Chad) we visited over 10 churches, a school, a seminary, a new financial venture (beef farm), new offices for the Metropolitan’s headquarters…and we only saw part of 2 of the 6 countries under the Metropolitan! There is so much work currently being done and so much more to do. Fr Michael Miklos, our team leader, kept the call to missions before us and our Cameroonian brothers and sisters at all times. Metropolitan GREGORIOS pointed out to us how even the poorest of the poor give to «the poor» when the collection is taken in church. What a humbling experience!

In spite of our cultural differences, we found the faith of the people who call Africa home incredibly inspiring. In many ways they do not need you…you need them. Be a part of an Orthodox Mission Team. Share in a journey of faith.

(  http://www.ocmc.org/ )

Réflexions sur l’Afrique – les membres de l’équipe une expérience au Cameroun ( Machine translation )

par Kelsey Lourie

Comme je siège ici à la Boîte à Tacoma, WA, et de réfléchir sur ma participation récente dans la Octobre 2007 OCMC Cameroun mission voyage, je ne peux pas m’empêcher de reconnaître comment les riches de notre société. Même nos sans-abri et démunis ont plus de chances pour une vie meilleure que dans de nombreux pays du tiers monde. Au cours de l’équipe de mission d’expérience et maintenant dans les jours qui ont suivi mon retour, je suis en proie à se demander pourquoi et comment nos mentalités, les attitudes et les perspectives sont tellement différentes. Je pouvais interpréter les événements et les actions individuelles, j’ai vu en Afrique, dans certains, les moyens négatif, mais même mon interprétation est le reflet de mon éducation américaine.
Néanmoins, derrière tous les «plus élevé», il reste l’histoire d’un simple fait: les humains sont des êtres humains, peu importe où ils grandissent. Les gens de notre équipe a rencontré dans l’extrême nord du Cameroun et dans la zone à la frontière sud du Tchad étaient tout aussi enthousiastes à l’idée de l’orthodoxie comme toute nouvelle convertir ou spirituellement porté personne en Amérique. Ils ont apprécié la danse et le chant autant que nous. Ils aiment la famille, les amis et la bonne humeur, et qu’ils chérissent tout cela. Les enfants étaient innocents, les jeunes sont avides d’apprendre, et les anciens étaient sages. Ils ont l’esprit d’entreprise, de la bonne à la mise en réseau, souple et patient dans le visage du changement. Ils ont été accueillants, aimables, respectueux, convivial et donnant.

Comme nous nous sommes déplacés, les enfants sont en cours d’exécution dans les maisons ou d’écoles, de tout leur bras en l’air, large sourire, leur éclatante blancheur éclatante des dents en contraste avec leurs beaux visages d’ébène, de joie de crier que nous cylindres passé. Nous vague sourire et du lit de notre camionnette. Les enfants ont multiplié tous les jours comme mot de blanc étrangers qui ont été en voyage de retour et de suite à la saleté des routes reliant les villages reculés se propager. Nous avons été les habitants de certains en savaient plus sur notre calendrier que nous avons fait … les gens de tous âges sont sortis de la brousse «, peu importe où nous étions en visite. Il a été dit que «l’herbe a des yeux».

Chaque jour nous sommes allés à une autre paroisse ou mission de la communauté, en voyant tous les stades de la croissance d’une église: les collectivités sans une église, nouvellement acheté des terres, groundbreakings, les fondations, la construction de coquillages, une consécration, les jeunes des églises, des vieilles églises, une cathédrale dans … le véritable cœur de l’Afrique. Il est littéralement tomber la mâchoire-être de s’écraser à un pot-trous route de terre ou d’un nu-pieds de sentiers battus, l’équitation de haut en plein camion lit, battant autour d’un buisson ou un arbre, d’esquive sous les branches, brisant par le biais d’un mil terrain et soudain, Screech à un arrêt en face d’une grande et belle église Οrthodoxe! Nous avons coutume de se réunir avec une partie de la paroisse chanter, danser, jouer de la batterie et le hochet à la hauteur de la Loue dans le dialecte local africain de Tipouri, le contingent de plus en plus à la minute. Les villageois vêtu de couleurs vives et tee-shirts blancs, accueilli avec joie Gregorios métropolitaine, la visite des membres du clergé et de notre équipe et avec des sourires extatiques aigu cris. Tout le monde, de tout-petits aux aînés, a secoué chaleureusement nos mains. Notre brisé Tipouri français et ne sont guère un obstacle à la communication non-verbale de sourires, clasping mains, battements de mains et de la danse à leur musique, regarder à l’émerveillement dans leurs églises, leurs prêtres revering comme ils le font la nôtre, nous l’identique de passage, de rire à chaque autres bouffonneries, prendre des photos ensemble et en leur montrant l’impression numérique de leur existence. Je suis presque en larmes sur le souvenir!

Dans nos 19 jours de séjour au Cameroun (et une visite au Tchad), nous avons visité plus de 10 églises, une école, un séminaire, une nouvelle entreprise financière (viande ferme), de nouveaux bureaux pour le siège métropolitain de l’… et nous avons seulement vu partie de 2 des 6 pays dans le cadre de la Metropolitan! Il ya tellement de travail en cours et bien plus encore à faire. Père Michael Miklos, notre chef d’équipe, conservé à l’appel des missions avant de nous et de nos frères camerounais et soeurs en tout temps. Metropolitan Gregorios fait remarquer à la façon dont nous, même les plus pauvres des pauvres à donner «les pauvres» lorsque la collection est pris à l’église. Quelle expérience d’humilité!

En dépit de nos différences culturelles, nous avons trouvé la foi des personnes qui demandent l’Afrique une source d’inspiration maison incroyable. À bien des égards, ils n’ont pas besoin de vous … vous en avez besoin. Être une partie de l’équipe de mission Οrthodoxe. Quote-part dans un voyage de la foi.

Reflexionen über Afrika – ein Team-Mitglieder Erfahrungen in Kamerun ( Machine translation )

von Kelsey LOURIE

Wie ich sitzen hier in einem Kaffeehaus in Tacoma, WA, und darüber nachzudenken, meine letzten Teilnahme an den Oktober 2007 OCMC Kamerun Mission Reise, ich kann nicht umhin anzuerkennen, wie reichen unserer Gesellschaft ist. Sogar unsere Obdachlose und mittellose haben mehr Gelegenheit für ein besseres Leben als viele in Ländern der Dritten Welt. Während der Mission Team Erfahrung und nun auch in den Tagen nach meiner Rückkehr, ich bin geplagt von fragen, warum und wie unsere Mentalität, Einstellungen und Perspektiven sind so unterschiedlich. Ich könnte Interpretation der Ereignisse und individuelle Maßnahmen Ich sah in Afrika in bestimmten, negativen Möglichkeiten, aber auch meine Interpretation ist ein Spiegelbild meiner amerikanischen Erziehung.
Dennoch, hinter all der «höheren» Träumereien gibt nach wie vor eine einfache Tatsache: Menschen sind Menschen, egal wo sie aufwachsen. Die Menschen unseres Teams trafen im äußersten Norden von Kamerun und in der südlichen Grenze zu Tschad wurden ebenso begeistert wie die Orthodoxie keine neuen konvertieren oder geistig konzentriert Person in Amerika. Sie genossen Tanz und Gesang so viel wie wir. Sie lieben Familie, Freunde und gute Stimmung, und sie hegen und pflegen sie alle. Die Kinder waren unschuldig, die Jugend waren begierig zu lernen, und die Ältesten waren klug. Sie wurden unternehmerischen, auf gute Vernetzung, flexible und Patienten im Angesicht des Wandels. Sie waren gastfreundlich, Art, respektvoll, was und freundlich.

Wie wir reiste, Kinder kommen würde, die von Häusern oder Schulhöfen, werfen ihre Arme in die Luft, lächelt breit, ihre brillant-weißen Zähne glühenden in krassem Gegensatz zu ihrer schönen Ebenholz Gesichter, Schreien in Freude, wie wir barreled Vergangenheit. Wir würden Welle und Lächeln zurück aus dem Bett unseres Anhalter-Lastwagen. Die Kinder multipliziert täglich als Wort des weißen Ausländer, die reisen hin und her Festlegung der Schmutz Straßen verbinden die abgelegenen Dörfern verteilt. Wir waren einige der Einheimischen wusste mehr über unser Zeitplan, als wir haben … Menschen aller Altersgruppen kamen aus dem «Busch» Egal wo wir waren besuchen. Es wurde gesagt, dass «das Gras Augen hatte.»

Jeden Tag fuhren wir zu einer anderen Gemeinde oder Mission Gemeinschaft, zu sehen in jeder Phase das Wachstum von einer Kirche: Gemeinden ohne eine Kirche, neu gekaufte Grund und Boden, groundbreakings, Stiftungen, Bau-Schalen, eine Weihe, jungen Kirchen, alte Kirchen, eine Kathedrale in … das wahre Herz von Afrika. Es ist buchstäblich Kiefer-Drop zu sein Absturz ein Topf-Löchern Piste oder ein Bare-Fuß-geschlagen Pfad, Reiten hoch in der offenen Anhalter-Lastwagen Bett, fliegen rund einem Busch oder Baum, Ducking unter den Zweigen, Smashing durch eine Hirse Feld-und kreischen plötzlich zum Stillstand vor einem massiven und schöne orthodoxe Kirche! Wir waren in der Regel erfüllt mit einem Teil der Gemeinde Singen, Tanzen, spielen die Trommeln und die Rassel in Höhe von lobt die in der lokalen afrikanischen Dialekt der Tipouri, die das Kontingent durch die wachsende Minute. Dorfbewohner, gekleidet in hellen Stoffen und weißen T-Shirts, freudig begrüßt Metropolitan Gregorios, der Besuch Klerus und unser Team mit Lächeln und ekstatischen hochtönige schreit. Jeder, von Kleinkindern bis Ältesten, herzlich schüttelte unsere Hände. Unsere gebrochen Französisch und Tipouri wurden kaum ein Hindernis für die non-verbale Kommunikation des Lächelns, clasping Hände, klatschen und tanzen zu ihrer Musik, anstarrend in Ehrfurcht an ihren Kirchen, revering ihre Priester, da sie uns, über uns selbst identisch, Lachen bei jeder andere «Possen, die Bilder zusammen und präsentieren sie den digitalen Druck von ihrer Existenz. Ich bin fast in Tränen über die Erinnerung!

In unseren 19-tägigen Aufenthalt in Kamerun (und ein Besuch in den Tschad) besuchten wir mehr als 10 Kirchen, eine Schule, ein Seminar, eine neue Finanz-Venture (Rindfleisch Bauernhof), neue Büros für die Metropolitan-Zentrale … und wir sahen nur Teil von 2 der 6-Staaten im Rahmen des Metropolitan! Es gibt so viel Arbeit derzeit tun, und so viel mehr zu tun. Fr Michael Miklos, unser Teamleiter, halten die Forderung zu Missionen vor uns und unsere Kameruner Brüder und Schwestern zu jeder Zeit. Metropolitan Gregorios wies darauf hin, die uns, wie auch die Ärmsten der Armen geben, um «den Armen», wenn die Sammlung wird in der Kirche. Was für ein demütigenden Erfahrung!

Trotz unserer kulturellen Unterschiede, fanden wir den Glauben der Menschen, die rufen Afrika zu Hause unglaublich inspirierend. In vielerlei Hinsicht sie nicht brauchen Sie … Sie sie brauchen. Seien Sie ein Teil eines Οrthodoxen Mission Team. Anteil an einer Reise des Glaubens.

Reflexiones sobre África – miembros de un equipo de experiencia en el Camerún ( machine translation )

por Kelsey Lourie

Como me siento aquí, en un café en Tacoma, WA, y reflexionar sobre mi reciente participación en octubre de 2007 OCMC Camerún misión viaje, no puedo dejar de reconocer cómo nuestra sociedad rica es. Incluso nuestro hogar y los indigentes tienen más oportunidades para una vida mejor que en muchos países del tercer mundo. Durante el Equipo de Misión de la experiencia y ahora en los días siguientes a mi regreso, estoy plagado de preguntarse por qué y cómo nuestra mentalidad, actitudes, y las perspectivas son tan diferentes. Yo podría interpretar los acontecimientos y las acciones individuales que vi en África en algunos, la forma negativa, pero incluso mi interpretación es un reflejo de mi crianza de América.
Sin embargo, detrás de todos los de la «superior» jazz sigue siendo un simple hecho: los seres humanos son humanos, no importa donde crecer. El pueblo nuestro equipo se reunió en el extremo norte del Camerún y en el sur de la zona fronteriza con Chad son tan entusiasmados con la ortodoxia de las nuevas convertir o persona espiritualmente centrado en América. Gozan de baile y canto tanto como nosotros. Les encanta la familia, los amigos y el buen humor, y que apreciamos todo. Los niños son inocentes, los jóvenes estaban ansiosos por aprender, y los ancianos son sabios. Se empresarial, la buena en la creación de redes, flexible y paciente en la cara del cambio. Eran hospitalario, amable, respetuoso, dar y amigable.

Como hemos viajado, los niños que vienen corriendo de las casas o schoolyards, arrojando sus armas en el aire, la sonrisa amplia, sus brillantes dientes blancos brillantes, en marcado contraste con su hermoso rostro de ébano, gritando en la alegría como barreled pasado. Nos onda y sonrisa atrás de la cama de nuestra camioneta. El diario multiplicado los niños como blanco palabra de los extranjeros que viajaban hacia adelante y hacia atrás por la suciedad carreteras que conectan las aldeas remotas propagación. Estamos ciertos los lugareños conocían más acerca de nuestro calendario de lo que hizo … la gente de todas las edades salieron de la «Bush» no importa dónde nos visita. Se dice que «la hierba había ojos.»

Todos los días nos fuimos a otra parroquia o misión de la comunidad, viendo en cada etapa del crecimiento de una iglesia: las comunidades sin una iglesia, recién comprado la tierra, groundbreakings, fundaciones, construcción de depósitos, una consagración, los jóvenes iglesias, antiguas iglesias, una catedral en … el verdadero corazón de África. Es, literalmente, la mandíbula caída-que se falle en una olla-orificios camino de tierra o un desnudo-pie-camino, cabalgando de altura en el abra camioneta cama, volando alrededor de un arbusto o árbol, en virtud de eludir las ramas, rompiendo a través de una mijo campo y de repente un chillido a detener en frente de una masiva y hermosa iglesia ortodoxa! Nosotros por lo general se reunió con una parte de la parroquia cantando, bailando, tocando los tambores y el sonajero al ritmo de las alabanzas en el dialecto local de África Tipouri, el contingente cada vez mayor por el minuto. Los aldeanos vestidos en telas brillantes y camisetas de color blanco, saludó con alegría Metropolitana Gregorios, el clero y visitando nuestro equipo con sonrisas y extático agudo gritos. Todos, desde niños a ancianos, sacudió a calurosamente nuestras manos. Nuestra roto el francés y el Tipouri apenas un obstáculo a la comunicación no verbal de sonrisas, clasping manos, palmas y el baile a su música, mirando en el temor en sus iglesias, sus sacerdotes revering como lo hacen los nuestros, nosotros mismos idéntico cruce, en cada risa los demás payasadas, la toma de fotografías y demostrando junto a la impresión digital de su existencia. Estoy casi en lágrimas sobre el recuerdo!

En nuestro 19-días de estancia en Camerún (y una visita a Chad) que visitó más de 10 iglesias, una escuela, un seminario, una nueva empresa financiera (el sector de la carne la explotación), nuevas oficinas para la sede del Metropolitano … y que sólo vio parte de 2 de los 6 países en el marco del Metropolitano! Hay mucho trabajo que se está realizando actualmente y de manera mucho más por hacer. P. Michael Miklos, nuestro jefe de equipo, mantienen el llamamiento a las misiones que tenemos ante nosotros y nuestros camerunés hermanos y hermanas en todo momento. Gregorios Metropolitana señaló a cómo incluso los más pobres entre los pobres dan a «los pobres» cuando la recogida se toma en la iglesia. ¡Qué humillante experiencia!

A pesar de nuestras diferencias culturales, hemos encontrado la fe de las personas que llaman hogar África increíblemente inspiradora. En muchos sentidos, que no es necesario que usted … usted los necesita. Ser parte de un Equipo de Misión Ortodoxa. Compartir en un viaje de fe.